Le
"radio-cellulo-oscillateur" de G. Lakhovsky, précurseur
des appareils Priore |
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Dans les années 1930 , les nombreuses guérisons de cancers incurables sont obtenues avec un appareillage rudimentaire : Il s'agit d'un émetteur produisant des impulsions de très haute tension construit par le professeur G . LAKHOVSKY et employé dans de grands hôpitaux français, italiens et grecs. Il existe de nombreux rapports circonstanciés (voir plus loin). Le système d'antenne induit de nombreuses résonances. Ces "trains" (de qelques dizaines à quelques centaines de hertz , "transportant" une fréquence de qq centaines de kilohertz - 1 mégahertz tout au plus ) induisent de véritables chocs au niveau de la membrane cellulaire et modifient vraisemblablement sa polarisation et par là - même sa perméabilité , de manière sélective |
Quels en sont les enseignements ? notion de choc B.F. Notion de champs électrique élevé (il s'agit d'un champ électrostatique : le malade est isolé , aucun courant ne le traverse). La puissance des appareils n'a d' intérêt que pour augmenter le champ. Travaillant en très haute impédance , l'intensité dans l' antenne est très faible , le champ magnétique minime, la puissance absorbée par le patient également . Toutes les tentatives d'amélioration de la puissance des appareils , ont consisté en l' augmentation de l' intensité au détriment de la tension . Résultat : on ne fait que chauffer !! et les animaux meurent du "coup de chaleur ". La longueur d'onde n'est pas critique : l'antenne rayonne un spectre très large. D'ailleurs , dans les appareils ultérieurs on vise une puissance supérieure et une longueur d'onde fixe : échec total . notion de "syntonie" c'est à dire de résonance de l' organisme selon les dires de Lakovsky: c'est la condition du transfert du maximum d'énergie. On la règle avec l'ampèremètre thermique HF qui doit indiquer l'intensité maximum. Ajoutons que ce champ électrostatique à haut gradient de potentiel n'est pas "symétrique" . En effet que les résultats soient obtenus par un émetteur TESLA à éclateur délivrant des trains d'ondes amorties ou par un émetteur à ondes courtes entretenues symétrique de sa conception, le sujet est très près de l' appareil ; il est soumis à des champs électriques pseudo alternatifs (et non à des ondes électromagnétiques stricto sensu ), liés à la conception des appareils :
L'énorme amortissement du à l'énorme impédance de l'antenne à cette fréquence (quelques alternances seulement ) fait qu'on peut assimiler ce train d'ondes à UNE SEULE IMPULSION à front raide et à décroissance exponentielle . Notons que comme dans tous les appareils de Priore , il n' existe pas de tension continue , encore moins de tention stabilisée ! De même ,il n'a jamais été observé d'effets nocifs ,quelque soit la pathologie , le nombre et la durée des séances de traitement . Ces "séances "durent 15-20 minutes , répétées deux fois par semaine environ. L'amélioration de l'état général est immédiat, la tumeur régresse en quelques semaines , et disparaît en quelques mois lorsque elle est superficielle, alors même que le traitement a été arrêté. Ainsi ,on a le sentiment d'un effet retard. Le même appareillage est utilisé tant pour les tumeurs animales et humaines que les cancers végétaux. Citons les stupéfiantes guérisons de tumeurs induites chez le Pelargonium , maintes fois reproduites. Nous
ne disposons pas d'études faisant varier la durée des
séances , leur nombre , le temps cumulé de traitement
, leur début par rapport au stade de la tumeur comme dans les
expériences de Priore. A cette époque on n'a pas la notion
du rapport dose cumulée d'exposition - bénéfice
thérapeutique . Notons cependant les faibles temps d'exposition
pour d'aussi remarquables résultats ! NB : d'autres résultats surprenants bien que limités aux problèmes de douleur d' arthrose ,de cicatrisation sont obtenus avec des champs magnétiques pulsés. Ici ,aussi la notion de"polarité" ; les champs alternatifs sont totalement inefficaces ! Conclusion : trois éléments fondammentaux :
Importance de la durée du traitement et du stade de la maladie quand on l'institue . |